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vigilance à la réglementation!!!
- Le 09/07/2017
Finistère. Le pilote survole l’Île-Longue… et Macron !
Modifié le | Publié le - 0Pierre FONTANIER et Paul PEAN
Mardi, le Président visitait la base des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) de l’Île-Longue, près de Brest (Finistère). Un site secret défense qu’il est interdit de survoler. Un pilote belge de paramoteur a survolé la zone. Il est convoqué vendredi chez le procureur.
L’histoire
L’anecdote ne manque ni de piquant, ni de hauteur. Et ce pilote belge ne manque pas d’air. Mercredi, 14 h 15. Le Président de la République, Emmanuel Macron, visite la base des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) de l’Île-Longue, près de Brest. Un site secret défense qu’il est interdit de survoler. Une réglementation stricte qui semble avoir échappé à ce pilote belge âgé de 49 ans, féru de paramoteur.
Alors qu’il survole la zone, un hélicoptère de la gendarmerie se rue sur lui et fait des ronds dans l’air pour le sommer d’atterrir. Il faut dire qu’il y avait le gratin de la Défense française pour accueillir le nouveau Président. En particulier des hommes des Pelotons de surveillance et d’intervention de la gendarmerie, les Psig. Le pilote belge a fini par obtempérer et a posé son engin à voile et à moteur dans un champ de Kersiguénou, un lieu-dit de la presqu’île de Crozon.
Retrait de licence et amende
Provocation ? « Non, répond le parquet de Quimper. Plutôt un défaut de vigilance, une négligence. Il appréciait les paysages des côtes finistériennes et en profitait… » L’homme aurait même planté un drapeau dans une meule de foin avant de prendre son envol pour pouvoir mieux se repérer à l’atterrissage.
N’empêche, le pilote belge a été entendu par les forces de l’ordre : il est convoqué vendredi matin devant le délégué du procureur de la République de Quimper pour une composition pénale : « Sa licence de vol lui sera retirée pendant trois mois et il devra payer une amende de 500 euros » explique une substitut du procureur. Une chance que l’homme soit convoqué avant de repartir en Belgique samedi : il n’était venu en vacances dans le Finistère que pour huit jours. Et repart avec un souvenir inoubliable.
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BIA a sens aussi!! appelez le 0787940562
- Le 09/07/2017
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VILLEFAGNAN: LE COLLÈGE VOLE VERS LA 3E DIMENSION
Par charentelibre.fr, publié le , modifié .
Les visiteurs du collège Albert-Micheneau ont eu la surprise de découvrir dans la cour de récréation un ancien Jaguar de l'armée de l'air française (1). Une cabine de jaguar, un avion lancé dès le 17 mai 1965 par les ministres de la Défense anglais et français. Premier vol le 8 septembre 1968 à Istres, à partir de 1973, l'avion sera utilisé au Tchad, en RCA, etc. Les élèves ont reçu une information sur le brevet d'initiation aéronautique (BIA) qui se préparera au collège dans le cadre d'un conventionnement Armée de l'air-Education nationale. Etonnés du nombre de cadrans et de boutons il s ont convenu: «Il faut être concentré». L'Armée de l'Air a retiré du service ses derniers Jaguar le 1er juillet 2005, remplacés par des Rafale l'année suivante. Les «Cadets de la sécurité» ont fait l'exercice, et invité le public à des jeux «d'eau» à la lance incendie sur cible avec le CIS de Villefagnan.
Les élus et parents d'élèves qui avaient participé l'après-midi à la manifestation contre la fermeture du collège, ont parcouru les ateliers et les classes, le CDI, où étaient exposés des travaux d'élèves.
La construction de ce collège d'enseignement général (CEG) fut décidée le 17 mai 1973. En septembre 1974 lors de l'ouverture il n'y avait pas eu d'inauguration car le premier directeur, Albert Micheneau, venait de décéder. Le 18 décembre 1974 le CEG tenait ses premières portes ouvertes (1), les élus le matin et le public l'après-midi étaient guidés par le nouveau directeur M. Cousteau et son équipe de 17 professeurs. Devant les élus M. Cousteau souhaitera «longue vie au nouveau CEG». L'avenir du collège qu'il est devenu inquiète la population qui juge qu'il n'a jamais démérité.
(1) Dans le cadre du «parcours citoyen-parcours d'avenir» avec l'aéro-club de Brie-Champniers.
(1) http://villefagnan.wifeo.com/histoire-college-micheneau.php -
brevet initiation aéronautique avec LESCIENCIEL sur SENS aussi !!!
- Le 09/07/2017
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Décollage réussi pour l’atelier aéronautique
Publié le 06/07/2017
Sept des huit élèves ayant obtenu leur brevet, accompagnés de leur professeur. © Droits réservés
Depuis un an, les élèves du collège Joachim du Bellay ont la possibilité de préparer un diplôme reconnu par le ministère de l'éducation nationale, le Brevet d'initiation aéronautique (BIA). Les huit volontaires, issus des classes de troisième, ont suivi un enseignement d'une quarantaine d'heures le lundi et le jeudi pendant la pause du midi.
Météorologie
et aérodynamiqueCes cours, dispensés par Michaël Adam, professeur de technologie, portaient sur des programmes aussi divers que la météorologie, la connaissance des aéronefs, l'aérodynamique et la mécanique du vol, la réglementation et l'histoire de l'aviation.
Pour illustrer cette préparation, en mars dernier, les huit élèves et leur professeur ont participé à la visite de la base aérienne militaire de Bricy et en avril à la visite des installations de la base aérienne 279 de Châteaudun.
Sur les huit candidats reçus, trois ont même obtenu une mention assez-bien et deux une mention bien. En plus de l'attribution du diplôme remis sur l'aérodrome de Chartres cette semaine, chacun des apprentis aviateurs aura le plaisir de se voir offrir une heure, accompagné d'un instructeur, à bord d'un avion de l'aéro-club de Châteaudun, partenaire du collège pour cette formation.
Odile Obrecht
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le record d’altitude en paramoteur
- Le 30/06/2017
LORRAINE - PARAMOTEURUn Lorrain bat le record d’altitude en paramoteur
Julien Barbier a atteint hier en fin de journée 5.700 m à bord de son paramoteur qu’il avait fait décoller depuis le plateau Sainte-Barbe à Pont-Saint-Vincent, près de Nancy.
- VU 2127 FOIS
- LE 19/06/2017 À 22:14
- MIS À JOUR À 07:07
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Photo HDJulien Barbier a atteint son objectif. Un défi de plus à l’actif du jeune pilote lorrain, vice-champion du monde en individuel et champion du monde par équipe de paramoteur en 2016. Photos Patrice SAUCOURT
Découvrez toutes les photos de l'exploit de Julien Barbier
par Bruno SUSSET
Bras levés, Julien Barbier exulte. Le jeune pilote lorrain, âgé de 28 ans, vient en effet de battre le record d’altitude en paramoteur en atteignant 5.700 m ! Il vient juste de se poser en douceur sur le plateau Sainte-Barbe, à Pont-Saint-Vincent, près de Nancy, sur une piste matérialisée par la haie d’honneur formée par les partenaires du défi, ses proches, ses amis, membres pour la plupart du club Nancy Vol Libre au sein duquel Julien, qui pratique depuis 15 ans, est instructeur. Il est 20 h 37. Julien a décollé presque 3 heures plus tôt. Ce vol, cela faisait trois ans qu’il en rêvait. « J’aime les challenges. Après avoir traversé le Chili en paramoteur en 2011, il me fallait trouver quelque chose d’autre. » Ce sera ce record d’altitude, jusque-là détenu par un pilote américain (5.386 m). Mais avant de se lancer, Julien va devoir tester de nombreux matériels « pour trouver le couple idéal moteur (1.000 cm3 , 4 temps)/voile de parapente, réaliser des vols d’essais, s’entraîner en caisson à affronter le manque d’oxygène… Et surtout attendre des conditions météorologiques optimales. C’était donc hier que Julien avait rendez-vous avec l’histoire des sports aériens. « Il y avait à peine 30 km/h de vent à 5.700 m. C’est rarissime d’en avoir si peu à cette altitude », raconte, un brin fatigué par l’épreuve, le jeune ingénieur, chargé de projet à l’université de Lorraine. L’imaginait-il, quelques heures plus tôt, enfilant sous un soleil de plomb, sous-vêtements, vêtements polaires, combinaison (testée en Sibérie !), cagoule, sous-gants, gants, masque à oxygène. Repassant avec son épouse, Jennifer, tous les points d’une check-list précise lui permettant de ne rien oublier : transpondeur, radio, téléphone portable, quatre altimètres, réserve d’oxygène, 23 l de carburant… Ainsi engoncé, Julien s’est laissé aspirer par le ciel pour aller tutoyer les nuages. « À 4.000 m, le moteur a commencé à givrer, à avoir des ratés. Et puis c’est reparti. Avec un taux de montée très faible, 10 cm par seconde. J’étais concentré à fond », raconte Julien, qui s’empresse de rendre hommage à la base aérienne 133 de Nancy-Ochey, dont les contrôleurs aériens ont assuré la sécurité du vol. « C’était rassurant pour moi de savoir ces militaires veillant sur moi ! » D’autant que des problèmes de communication vont perturber les liaisons entre le pilote et le contrôle. « Finalement, la radio a été coupée. Pour la rallumer, une fois l’objectif atteint, j’ai dû ôter mes gants. Là, j’ai eu froid ! » A cette altitude, il est vrai que le mercure flirtait avec les -20 °C ! Une bonne bouffée d’oxygène, et Julien a entamé sa descente.
Avant d’être officiel, son record devra encore être validé par la commission d’homologation de la fédération aéronautique internationale (FAI) à qui les données recueillies par un altivariomètre scellé embarqué vont être envoyées.
http://www.estrepublicain.fr/loisirs/2017/06/19/un-lorrain-bat-le-record-d-altitude
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Un homme-oiseau tente la traversée de la Manche
- Le 13/06/2017
Un homme-oiseau tente la traversée de la Manche
>Société|jérôme sage Jérôme Sage|12 juin 2017, 21h32|0
jérôme sage Jérôme Sage
SociétéKarim DaddaManchedétroit de Gibraltar
Karim Dadda, 36 ans, s’élance ce mardi à 9 heures avec un paramoteur. Un drôle de parapente avec un petit moteur dans le dos. Moins simple qu’il n’y paraît.
C’est lui qui le dit : Karim Dadda, 36 ans, sera «le premier Africain, le premier Marocain à traverser la Manche en paramoteur». Il s’élancera ce mardi matin, vers 9 heures, de l’aérodrome de Saint-Inglevert, à l’ouest de Calais, pour rejoindre celui de Clipgate, entre la côte anglaise et Canterbury. Avec une voile de parapente, un propulseur à hélice dans le dos, son courage et sa passion. Il compte rejoindre sa destination en une heure si tout va bien.
«Drogué» au paramoteur
Pourquoi ce défi ? «Il y a un an, confie le technicien de métier, nous avions organisé une traversée du détroit de Gibraltar, pour joindre le Maroc, mais ce pays a refusé de donner l’autorisation... Et comme je suis passionné par l’histoire du débarquement de Normandie, aussi bien pour ce qui est de l’héroïsme des soldats que des prouesses logistiques d’un tel évènement, ça m’a semblé une bonne manière de marquer le 73e anniversaire de cette date historique» Hélas, le 6 juin, le vent était trop fort. Tout comme le 9 juin. «Il y avait un vent de Sud-est, qui soufflait à 35 km/h. C’est beaucoup trop, l’idéal est un vent de 5 à 9 km/h, en tout cas inférieur à 20 km/h».
Le jeune homme se dit «drogué» au paramoteur. «Je voulais préparer le brevet de pilote privé», permettant de piloter de petits avions de tourisme, «mais c’était trop cher. J’ai essayé l’ULM, l’autogire (NDLR : un engin léger aux airs d’hélicoptère), mais c’est le paramoteur qui m’a le plus séduit. Dès que j’ai un moment, je décolle !»
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Six mois de préparation
Ils sont une poignée à avoir réalisé cette expédition. En 2016, Sacha Dench, biologiste anglaise, participant a une expédition suivant la migration des cygnes de Bewick depuis le nord de la Russie, avait été la première femme à traverser le Channel ce drôle d’engin sur le dos. Si Karim précise être le premier Marocain à se lancer, c’est «une fierté, et pour montrer autre chose des musulmans» en des temps où l’actualité donne souvent à l’Islam un visage effrayant. Avec le club Grand Vol Paramoteur, dans le Val-d’Oise et la Fédération française, ils ont réuni les quelque 2000 euros de budget, et préparé la traversée pendant 6 mois. En jeu, la sécurité - et donc l’affrêtement d’un bateau suiveur -, sans oublier le respect de la réglementation, très stricte en matière d’objets volants. Le plan de vol de l’homme-oiseau a ainsi été communiqué à la Direction générale de l’aviation civile (DGAC). S’il réussit, son défi, il en entamera d’autres. à commencer par celui qu’il avait dû abandonner : franchir le détroit de Gibraltar, porte de la Méditerrannée.
L'éternel horizon des explorateurs
Malgré la technologie qui repousse les limites et les horizons, la Manche reste le terrain d’essai de nombreux défis. Justement, un autre objet volant innovant prendra le ciel quelques heures après Karim. Une voiture volante, premier véhicule homologué à la fois pour la route et les airs : le projet Pégase. Une sorte de buggy, équipé d’une voile et d’un ventilateur - un paramoteur, en somme - permettant de réaliser cet exploit, joindre Paris à Londres par la route sans emprunter un ferry-boat ou le tunnel sous la Manche. Le véhicule, en dehors de ses usages récréatifs, intéresse déjà largement les forces de sécurité pour la surveillance de frontières par exemple, ou les militaires des forces spéciales, qui disposeraient d’un moyen d’infiltration peu bruyant, léger, capable d’évoluer en terrains difficiles.
En 2015, c’est l’avion électrique E-Fan, conçu par Airbus, qui montrait ses capacités au dessus de la Manche, cette quarantaine de kilomètres d’eau qui signifie tant. En 2008, le pilote suisse Yves Rossy y déployait son aile rigide à réacteurs, lâché d’un avion, pour rejoindre en quelques minutes les côtes anglaises à 200 km/h. Depuis, le «jetman» a fait du chemin, volant entre autres en formation avec un A380, des avions de chasse, au dessus du grand Canyon ou à Rio de Janeiro. En 1909, c’est encore au dessus de la Manche que Louis Blériot inaugurait l’âge d’or de l’aviation. Jean-François Pilâtre de Rozier, l’un des aéronautes pionniers de la navigation en ballon, est mort en tentant de marquer les esprits de part et d’autres de la Manche en juin 1785, dans une traversée en ballon qui a tourné au drame.
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CROSS COUNTRY
- Le 11/06/2017
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