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    • Le 12/12/2017

  • Du Brevet d’Initiation Aéronautique à l’Aéromodélisme avec l’aéro-club du Grand Chalon

    • Le 06/12/2017

    CHAMPFORGEUIL

    Du Brevet d’Initiation Aéronautique à l’Aéromodélisme avec l’aéro-club du Grand Chalon

     

    Depuis de nombreuses années le Brevet d’Initiation Aéronautique est enseigné à l’aéro-club du Grand Chalon dans différents Etablissements scolaires du Chalonnais. Mais depuis sa mise en inactivité professionnel, Francis DURAND président de l’aéro-club forme cette année, chaque semaine 5 jeunes Collégiens et Lycéens, (Louis, Antoine, André, Louis, Thomas).  A raison de 3h00 de cours les mercredis après-midi, à la construction de maquettes d’avions télécommandées. L’aéromodélisme est un complément logique d’un thème du BIA, sur la connaissance des aéronefs (Généalogie des Aérodynes) et tous possèdent déjà ce diplôme de l’éducation nationale. 

    Les matériaux utilisés pour l’assemblage des avions sont différents par leurs propriétés, construits à l’échelle et sur plan, avec le balsa, contreplaqué, colle. Le moment le plus magique est le premier vol de la maquette réalisée, les premiers réglages et enfin le vol parfait avec la radio commande.

    Les élèves trouvent ici un enrichissement de culture aéronautique en équipe qui est unique par son enseignement, et de créer aussi de futurs vocations avec les métiers de l’air.

     

    http://www.info-chalon.com/articles/champforgeuil/2017/11/29/34206/du-brevet-d-initiation-aeronautique-a-l-aeromodelisme-avec-l-aero-club-du-grand-chalon/

  • Une vocation, un métier et une passion

    • Le 05/12/2017
     
     
     

    Une vocation, un métier et une passion

    Publié le  par Francis Berry.
    Une vocation, un métier et une passion
    Alban Poletto pilote une réplique en bois et en toile à l’échelle 7 / 8e du SEA5, avion de la Première Guerre mondiale. 
    PHOTO F. B.

     

     

    À l’occasion de la remise des Brevets d’initiation aéronautique, à l’aéro-club de Saintes, le 19 novembre, l’attention des curieux a été attirée par l’activité d’un « gonfleur d’hélices » (1), Alban Poletto, autour d’un aéronef monoplace dont les cocardes et le n°F8017 apposés sur sa carlingue le rattache au 25e escadron américain. Le SE5A fut l’un des chasseurs les plus rapides de la Première Guerre mondiale. Avec son moteur de 200 CV, ses 2 mitrailleuses synchronisées et 220 km/h en vitesse de pointe, il égalait le Spad S.XIII ce qui en faisait le fleuron de l’aéronautique de l’époque.

    Le 19 novembre, Alban Poletto ne s’affairait pas sur l’original mais sur une réplique en bois et en toile à l’échelle 7 / 8e pouvant atteindre 120 km / h avec un moteur « Rotax ». Un bicylindre en ligne 2 temps de 65 CV d’une fiabilité exemplaire car également conçu pour les motoneiges.

     

    Membre de l’aéro-club depuis 2006, il a acquis ce SE5A en 2013. Livré démonté, il a refait les circuits de refroidissement, électriques, l’allumage, la façade avant et les capots moteurs.

    À l’échelle 1 ?

    Classé administrativement dans la catégorie ULM, le SE5A vole sous le régime déclaratif. Adolescent, Alban Poletto était attiré par le monde de l’aéronautique. La lecture de « L’Équipage », de Joseph Kessel (un livre offert par sa mère) fut le déclic. Il comprit que l’aviation allait devenir sa vocation, son métier et sa passion avec une préférence pour les aéroplanes de la Première Guerre mondiale. Aujourd’hui, il vole pour le plaisir, participe à de nombreux meetings et improvise, avec des amis pilotes, des simulacres de combats.

    Au printemps 2018, lors d’un rallye auto combiné aux biplans d’époque et aux avions du club de Saintes, il pourra piloter avec l’esprit d’autrefois. Affilié au réseau des aéro-constructeurs amateurs atlantique où se rejoignent les constructeurs amateurs d’avion et d’ULM, Alban Poletto dispose ainsi de plans originaux et s’interroge sur l’opportunité de concevoir un nouvel ES5A à l’échelle 1, avec une place passager.

    (1) Le terme fait référence aux hélices des vieux aéronefs qui pouvaient être placées sur deux positions : une pour le décollage et l’autre pour le vol à vitesse de croisière. Au sol, l’hélice était mise en position « petit pas » pour décoller via une pompe à mains. Sous la pression de l’air, elle se retrouvait ainsi repoussée en arrière.

     
     
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  • Joseph Gobbé a créé la moto volante Charly-Fly à Saint-Denis-de-Gastines, près de Gorron

    • Le 23/11/2017

    Joseph Gobbé a créé la moto volante Charly-Fly à Saint-Denis-de-Gastines, près de Gorron

    Joseph Gobbé, de Saint-Denis-de-Gastines, dans le Nord-Mayenne, a créé une moto... volante. En effet, associant un paramoteur et une moto, il a réussi à faire un véhicule capable d'évoluer dans l'air, et sur le sol. Comment a-t-il fait ? Rencontre.

    Charly-Fly en vol, avec Joseph Gobbé. (©Joseph Gobbé)

    St-Denis-de-Gastines. Les voitures roulent au sol, les avions volent dans les airs, les bateaux voguent. Quant aux sous-marins, ils vont… sous l’eau. À chaque fois, un véhicule est créé pour un type de déplacement. Sauf que Joseph Gobbé, dyonisien, lui, a réussi un véhicule roulant et volant en même temps. Il l’a nommé Charly-Fly.

    Voler et inventer

    « J’ai plusieurs passions dans la vie, selon les époques, la chasse à l’arc, le rallye, l’équitation, entre autres ». Mais en ce qui concerne ce qui nous amène, deux passions sont plus directement influentes : « le vol, et le fait d’inventer en mécanique, mettant à profit ma formation de mécanicien de précision ».

    Un buggy

    Tout commence en 2016. « J’avais entendu parler d’un buggy qui, modifié, pouvait voler. J’ai donc voulu faire de même ». Cependant, lorsque Joseph Gobbé voit le prix, plus de 120 000 €, il estime que ce projet, de coût trop élevé, n’est pas pour lui. Il se tourne alors vers la modification d’une moto.

    Charly-Fly au sol (©Publicateur)

    La technique pour doter à ce véhicule terrestre une fonction aérienne, consiste à fixer un paramoteur et une voile à l’arrière du véhicule. Entre l’idée et la réalisation, de nombreuses étapes étaient à franchir. « Il fallait non seulement respecter la réglementation des véhicules terrestres, mais aussi celle des Ultralégers Motorisés (objet volant de moins de 450 kg). Tout créateur d’ULM est responsable de ce qu’il construit ».

    Quelle moto choisir ? Et quel bloc paramoteur ? Joseph pense à plusieurs motos, mais, finalement, la meilleure solution est trouvée avec une moto de 125 cm3 de marque Charly (d’où le nom qui, accolé à fly, donne Charly-Fly ; fly signifiant vol en anglais) qui sert comme véhicule d’appoint pour les camping-caristes. « Elle était légère, sa conformation se prêtait bien à la fois à la fixation d’un bloc paramoteur et au confort de l’utilisateur ». Pour le bloc paramoteur, il s’oriente également vers un système léger. Sur le plan technique, la solution consistait à « ne pas modifier du tout le véhicule terrestre ».

    Des roulettes sur les côtés

    Au décollage, la moto devait rester stable et verticale. Aussi, Joseph Gobbé crée donc un système de roulettes sur les côtés. « J’ai passé beaucoup de temps à concevoir cette partie. Placer les roulettes devant était une erreur, je l’ai compris après de nombreux essais ». Quant à l’hélice, au système de rangement de la voile, au moteur de l’ULM, « j’ai longtemps cherché pour pouvoir ranger cela et créer une fixation qui s’enlève et se remet facilement, le tout en respectant le poids de charge ». Les roulettes devaient de plus être repliables et dépliables. Un véritable défi.

    « Tout n’était que compromis. À modifier telle chose positivement, on impactait telle autre négativement. Ceci dit, à force de tâtonnement, j’ai fini par trouver ».

    La liberté sans égale

    De modifications spéciales en modifications spéciales, dans son atelier de La Rabine, Joseph Gobbé donne peu à peu forme à son invention rêvée. « Entre la forme volante et la forme roulante, il s’écoule 15 à 20 minutes de préparation. Mais l’engin permet véritablement à une personne de rouler ou de voler selon ses envies ». Attention toutefois : aucun décollage n’est possible depuis la route. « La moto doit aller à une base ULM ».

    Les canards

    Les utilisateurs ont alors la joie de pouvoir parcourir le ciel à partir de 150 mètres comme le prévoit la réglementation, en étant venus cheveux au vent, sur une moto. Un sentiment de liberté sans égal. « J’ai fait ça pour partager. J’invite ceux qui veulent s’inspirer de Charly-Fly pour en faire une à eux à me contacter ».

    Charly-Fly en vol, avec Joseph Gobbé. (©Publicateur)

    Ainsi Joseph Gobbé est parvenu à créer l’un de ces rares véhicules humains capables de deux déplacements, en même temps, c’est-à-dire terrestre et aérien. Son invention peut sonner aux yeux d’autres inventeurs comme un objectif à atteindre, qui pourront essayer d’en faire autant. Où même le dépasser. À quand en effet un véhicule qui roule, qui vole, qui se déplace sur l’eau et qui plonge sous l’eau ? La nature, de par ses fameux oiseaux plongeurs, avec notamment les canards, semble pour le moment garder farouchement son secret.

    Guillaume JEANNE

    En vidéo :

     

     

    Joseph Gobbé peut partager ses secrets sur Charly-Fly, au 06.75.45.73.03.

  • Des lycéens diplômés de l’aéronautique

    • Le 21/11/2017

    NIERGNIES

    Des lycéens diplômés de l’aéronautique

    Vingt-deux élèves des lycées de Cambrai, Caudry, Le Cateau et Le Quesnoy étaient conviés, mercredi soir, dans les locaux de l’aéroclub Louis-Blériot, pour y recevoir leur diplôme du brevet d’initiation aéronautique (BIA), examen national, récompense de leur travail sérieux et assidu, qui s’ajoute à leur programme scolaire et révèle une sérieuse motivation.

    Par La Voix Du Nord | 

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    Les élèves étaient venus des lycées de Cambrai, Caudry, Le Cateau et Le Quesnoy.

    Les élèves étaient venus des lycées de Cambrai, Caudry, Le Cateau et Le Quesnoy.

    Devant parents et amis, mais aussi un aréopage de personnalités civiles et militaires, ces jeunes ont été félicités pour leur engagement qui leur a permis de découvrir l’aviation et, pour certain(e)s, d’envisager une carrière aéronautique. Il faut préciser qu’aux nombreuses heures de cours (mécanique du vol, connaissance des aéronefs, météorologie, navigation, réglementation et sécurité) sont venus s’ajouter la préparation d’une navigation et un vol aux commandes de l’un des avions de l’aéroclub, sous la responsabilité du chef pilote.

    Pépinière

    Les jeunes ont pu, tout à loisir, discuter avec un pilote de chasse, le chef pilote du club, un officier de l’armée de l’air et découvrir ainsi les nombreux métiers qui s’ouvrent à eux. Partenaire privilégié de ce type de formation, l’aéroclub Louis-Blériot confirme, une fois encore, son potentiel de pépinière : de nombreux membres et « anciens » volent, en effet, sous les couleurs de notre République ou de grandes compagnies nationales.

     

    http://www.lavoixdunord.fr/267355/article/2017-11-17/des-lyceens-diplomes-de-l-aeronautique